🪩 MUSIQUE 🪩
■ En tant que photo-reporter depuis une quinzaine d'années dans le milieu de la musique électronique (principalement lié à la fête libre*) et membre du collectif de DJs Microclimat** depuis plus de 10 ans, j'ai eu la chance de participer à de nombreuses fêtes (alternatives pour la plupart) dont je dévoile ici quelques clichés. Des fêtes qui cherchent à s'éloigner du consumérisme, à large spectre musical et créatif, aux couleurs fascinantes et aux contrastes saisissants, remplies d'énergies bien souvent exubérantes mais toujours bienveillantes ; des fêtes inclusives, respectueuses de leurs membres, et dans lesquelles plane très souvent un sentiment d'extase, de liberté, d'introspection, voire même d'intimité ; des fêtes qui font la part belle à la magie de l'instant et qui n'ont pas fini de me/nous fasciner... ■ Mon travail dans cet univers - sous mon nom d'artiste 'François de la Pampa' - est à la fois documentaire, éditorial et artistique. Je fais également de la video et de la création de contenus visuels pour des artistes (portraits en live ou en studio, pochettes d'albums, affiches & flyers, reportages, clips video...) // Have a look!⤵︎
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■ GALERIES PHOTOS ■
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■ MON 2e SITE WEB ■
Un site entièrement dédié à la fête où vous pourrez découvrir encore plus de photos et de videos ! ☞ www.francoisdelapampa.com
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■ INSTAGRAM ■
Mon compte dédié à l'univers de la fête et de la musique électronique ! ☞ @francois_de_la_pampa
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■ PRINTS et PUBLICATIONS ■
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☐ PERLIMPINPIN ☐
Publication d'un portfolio et co-réalisation pour Microclimat d'un fanzine sur le thème de la fête à l'heure du Covid
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☐ À CHATTE DE REVANCHE ☐
11 photos pour un calendrier pensé en réalisé en 2015 par le collectif "Schlag & Jolie"
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☐ TSUGI Magazine ☐
Publication de 4 photos (estampillées 'MICROCLIMAT') dans l'édition papier du mois d'avril 2025
☐ À NOUS PARIS ☐
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* Mouvement qui propose des fêtes "plus libres, plus inclusives et plus participatives" hors du circuit du "clubbing" traditionnel (qui a eu - en ce qui concerne la nuit parisienne - ses lettres de noblesses et un impact sociétal important à la fin des années 90 à l'image des 'grandes années' du REX et du Pulp notamment). Aux alentours de 2008/2009, à Paris, la jeunesse, alors en quête de nouvelles énergies, de plus de libertés, de lieux plus originaux et plus underground, d'horaires plus variées et d'évènement plus créatifs pour faire la fête, a progressivement déserté les "boîtes de nuit", devenues avec le temps l'ombre d'elles mêmes, et qui avaient fini par faire de Paris le parent très pauvre d'une scène musicale alors à son apogée chez nos voisins berlinois (pour ne citer qu'eux). Un mouvement d'émancipation - qui ne s'est jamais arrêté depuis - était né ; renouant quelque part avec l'esprit des premières raves qui avaient permis deux décennies auparavant de populariser la musique électronique et l'émancipation de toute une jeunesse. Un constat que n'ont pas manqué de faire également certains acteurs de la nuit parisienne comme « Plaqué Or », promoteur d’artistes et organisateur de soirées, « My Electro Kitchen », disquaire et organisateur de soirées électro, et « Technopol », association au service de la culture électro et organisatrice de la Techno Parade, dont l'activisme a permis un réveil progressif et un certain renouveau des clubs et autres lieux de diffusion musicale qui subissaient dans le même temps des pressions toujours plus fortes de la part des pouvoirs publics pour tenter de réduire la vie nocturne parisienne à peau de chagrin et dont les conséquences délétères sur le business et l'attractivité de la ville commençaient à se faire sentir depuis un certain temps (avec notamment la lettre ouverte intitulée sans ambage "Quand la nuit se meurt en silence" que ces acteurs de la nuit ont rédigée et adressée à différentes instances politiques dont la Mairie de Paris ou le Ministère de l'Intérieur). Un sursaut nécessaire mais tardif qui a cependant permis la tenue de fêtes légales plus alternatives, notamment en journée avec la possibilité d'organiser des afters et des open airs sur les quais de Seine par exemple ou dans des friches réhabilitées pour l'occasion, mais également -et pour la première fois- dans des lieux (des hangars notamment) situés au delà du périphérique jusqu'alors considéré comme une frontière parisienne au delà de laquelle organiser des fêtes la nuit n'était tout simplement pas envisageable.
** Le collectif Microclimat, reconnu pour son éclectisme musical de qualité, son esprit underground, la variété des animations qu'il propose, et son ouverture à un public s'étalant sur plusieurs générations, a organisé plus de 150 fêtes depuis 2012, dans des lieux insolites comme des parcs, des forêts, des patinoires, des souterrains, des friches ou encore des péniches. En proposant régulièrement, en plus des traditionnels dj sets, des installations scénographiques immersives, des concerts, du mapping, de la musique live, des performances circaciennes, des massages, des dégustations de thés, des espaces de sexualité.s, des cours de danse, ou encore des expos photos, chaque évènement Microclimat devient un espace éphémère de vie et d'expression artistique à part entière, participant ainsi à enrichir un mouvement musical et culturel dont les rendez-vous ne sauraient être assimilés à de simples vecteurs de... bamboche 😊