Ξ MUSIQUE 🪩
■ Photo-reporter depuis une quinzaine d'années dans le milieu de la musique électronique parisienne liée à la "fête libre"* ■ Membre d'un collectif de DJs** ■ Et par ailleurs régulièrement booké par d'autres collectifs pour prendre des photos de leurs fêtes ■ Mais également à l'occasion de festivals où j'ai pu me rendre dans différents pays européens ■ J'ai eu la chance d'être un témoin privilégié d'un certain nombre de fêtes alternatives à très large spectre musical et créatif, aux couleurs et aux contrastes fascinants, remplies d'une énergie souvent exubérante mais toujours bienveillante ; des fêtes dans lesquelles plane un sentiment partagé et très recherché de liberté et d'extase (individuelles et collectives), mais aussi par moment d'introspection et même d'intimité ; des fêtes qui font la part belle à la magie de l'instant et qui n'ont pas fini de fasciner... (notes en bas de page)
■ Mon travail de photographe reporter dans cet univers est à la fois documentaire, éditorial et artistique.
■ Je réalise aussi depuis quelques années des VIDEOS et je m'intéresse également de plus en plus à la création de contenus visuels pour des artistes en réalisant pour eux des PORTRAITS ainsi que des POCHETTES D'ALBUMS afin de traduire en images des éléments de leur personnalité et de leurs univers musicaux (cf. COM'ARTISTES ci-dessous👇)
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TRAVAUX RÉALISÉS SOUS MON NOM D'ARTISTE : François de la Pampa
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WWW.FRANCOISDELAPAMPA.COM
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■ PERLIMPINPIN
//PRINT// Découvrez le fanzine que j'ai co-réalisé avec Microclimat sur le thème de la fête à l'heure du Covid
■ À CHATTE DE REVANCHE
//PRINT// Visionnez les images que j'ai faites pour le calendrier "À chatte de revanche" en 2015
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* Mouvement né aux alentours de 2008/2009 qui se revendique et propose depuis cette époque des fêtes "plus libres, plus inclusives et plus participatives" hors du circuit jusque là incontournable du "clubbing" traditionnel (qui a eu ses lettres de noblesses et un impact sociétal important à la fin des années 90 dans le monde de la nuit à l'image des 'grandes années' du REX et du Pulp notamment) quand la jeunesse d'alors, en quête de nouvelles énergies, de plus de libertés, de lieux plus originaux, d'horaires plus variées et d'évènement plus créatifs pour faire la fête, en donc naturellement de plus "d'underground", a progressivement déserté les "boîtes de nuit" qui avaient fini par faire de Paris le parent très pauvre d'une scène musicale alors à son apogée chez nos voisins berlinois. Un sursaut parisien dû à l'activisme de nombreux acteurs de la nuit au profit de fêtes plus "alternatives " en journée notamment (que cela soit à l'occasion d'afters ou d'open airs) mais également -et pour la première fois- en investissant des lieux (souvent alors des hangars) au delà du périphérique, jusqu'alors considéré comme une frontière parisienne au delà de laquelle organiser des fêtes la nuit serait totalement vain. Un mouvement d'émancipation, qui ne s'est jamais arrêté depuis, était né ; renouant quelque part avec l'esprit des premières raves qui avaient permis deux décennies auparavant de populariser la musique électronique et l'émancipation de toute une jeunesse.
** Le collectif Microclimat, qui a organisé plus de 150 fêtes depuis 2012, de jour comme de nuit, dans des lieux insolites comme des parcs, des forêts, des patinoires, sur des quais, dans des souterrains, des friches ou encore sur des péniches.. et proposant à loisir, en plus des habituels dj sets, des installations scénographiques immersives, du mapping, de la musique live, des performances circaciennes (parfois burlesques, parfois queers, ou tout simplement impressionnantes), des ateliers massage, des dégustations de thés, des espaces de sexualité.s, des cours de danse, des expos photos, etc. permettant aux fêtes qu'il propose de devenir des lieux de vie et d'expression artistiques à par entière, et participant ainsi à enrichir un mouvement musical qui ne cesse de se renouveler.